Vous avez déclaré lors de vos voeux à vos amis industriels du CAC 40, vous savez, ceux que vous chérissez au détriment de la majorité :
"Depuis que je suis président de la République, j'ai fait un choix, je comprends il est difficile, je n'ai pas donné une seule fois un coup de pouce au smic. Parce que chaque fois qu'on donnait ce coup de pouce, on éloignait de l'entreprise et de l'emploi certains de nos compatriotes dont la formation n'était pas suffisante".
"On avait l'impression que quand on donne un coup de pouce au smic, on avait résolu le problème de tous les salariés français. Non, on avait pénalisé 90 % des salariés français"
"qu'on laisse travailler ceux qui veulent travailler"
"pas qu'on multiplie les allocations"
Questions :
"Le pouvoir d'achat,
le travailler plus pour gagner plus,
c'était donc finalement de fausses promesses
totalement électoralistes ?"
"Vous êtes donc fier d'avoir diminuer
le pouvoir d'achat des plus "faibles" ?"
"Est-ce que votre augmentation
de salaire de 120 % en 2007
est la raison de l'absence d'augmentation
du SMIC depuis cette même année ?"
"Pouvez-vous m'expliquer pourquoi en augmentant
le SMIC, celui-ci pénaliserait 90 % des français ?
(ndlr : Là, j'ai vraiment du mal à suivre...)
"Vous pensez encore que tous les chômeurs
n'ont pas envie de travailler ?"
"Qu'attendez-vous pour baisser le SMIC de 90 %
puisque votre bon ami Seguela vantait
les salariés chinois qui sont très heureux
avec quelques euros par mois ?"
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