Monsieur Hortefeux, Monsieur Sarkozy de Nagy-Bocsa,
Cela fait un peu plus d'une semaine que les C.R.S. manifestent de différentes manières leur désaccord avec votre plan de fermeture de certaines casernes.
Encore une grêve me direz-vous mais cette fois-ci pas n'importe laquelle : Le bras armé de votre gouvernement.
En une semaine, vous êtes revenus sur tous les points de ce projet de fermeture et vous allez lancer les concertations.
Questions :
"Comment avez-vous fait pour régler
ce problème en si peu de temps et
en répondant à toutes les revendications d'un coup ?"
"Pourquoi n'avez-vous pas fait comme d'habitude,
laisser pourrir, pourrir, pourrir
et nous sortir les C.R.S. pour déloger tout le monde ?
Oups, là, c'est pas possible...
"Allez-vous répondre de la même façon
avec les compagnies de gendarmes
que vous souhaitez faire disparaître également ?"
"Comment espérez-vous faire respecter l'ordre,
votre dada obsesionnel,
en supprimant des compagnies entières de C.R.S. ?"
"Où est la cohérence de ce projet ?"
"Pourquoi n'appliquez-vous pas les mêmes méthodes
avec l'ensemble des salariés du public et du privé ?"
"Avez-vous peur que les C.R.S. se retournent contre vous
et refusent de foncer sur les futurs manifestants
dès que vous l'ordonnez ?"
"Les multiples arrêts maladie déclenchés en protestation,
seront-ils annulés auprès de la Sécurité Sociale ?
Après tout, ce sont des faux semble-t-il...
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