Monsieur Sarkozy de Nagy-Bocsa,
Aujourd'hui est, semble-t-il, un jour un peu particulier et je voulais prendre des nouvelles de votre santé, principalement mentale, après les informations qui tombent depuis deux jours.
- l'agression dont vous avez été victime hier (d'ailleurs, en regardant la vidéo de plus près, votre réflexe est celui d'un enfant battu et non d'un homme prêt à affronté son "ennemi", me trompè-je ?) ;
- les nouvelles révélations sur les comptes de campagne de Monsieur Edouard Balladur en 1995 dont vous étiez le directeur de campagne et où ce ne sont pas 10 mais 25 millions de francs en liquide qui auraient atterris miraculeusement sur ces comptes ;
- la gué-guerre absurde et infantilisante entre monsieur Bruno le Maire et monsieur François Baroin pour obtenir un poste de Ministre de l'Economie ;
- Et surtout, les accusations contre monsieur Dominique Strauss Khan, votre principal adversaire, qui s'effondreraient les unes après les autres...
Bref, voici quelques questions :
"Ce matin, dans quel état êtes-vous ?"
"Anéanti ?
Terrorisé ?
Déboussolé ?
Pris à votre propre piège ?"
"Savez-vous que celui qui veut remuer la merde
est le premier à en sentir les effluves ?"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire