Monsieur Sarkozy,
Depuis hier soir et l'émission de Canal+, le Grand Journal, la presse s'est jetée sur une petite phrase d'une livre paru sur vous :
"Le monarque, son fils, son fief".
Alors que vous étiez sur le point de remettre une légion d'honneur, juste avant le discours, vous auriez supplié ceci :
« Regarde dans quel état je suis,
tu ne peux pas me laisser comme ça…
Soit gentille…
Tu vois que j’ai besoin de me détendre !
Allez c’est pas grand-chose ».
Après, vous l'implorez de ne pas le laisser comme ça...
Apparemment, la dame vous a calmé...
En fait, il y a une phrase qui m'interroge plus que les autres :
"Allez, c'est pas grand chose ?"
Questions :
"Encore un problème de taille ?"
"Il a fallut que vous lui disiez
pour qu'elle s'en rende compte ?"
"Euh, où était Carla ?"
"Donc, remettre une légion d'honneur,
ça vous donne des érections ?"
"Vous en êtes arrivé à supplier
pour un peu de plaisir ?"
"Dois-je y voir un lien
de cause à effet entre
votre pathétique supplication et la
mise à mort de la loi sur le harcèlement ?"
"Nadine Morano n'était pas dans les parages ?"
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