Nicolas Escrozy de Nagy Bocsa publie un livre aujourd'hui pour dire "sa vérité"... J'en rigole d'avance...
« Si ce livre a un sens, peut-être une utilité, c’est que le moment était venu de la clarté. J’ai voulu faire cet effort d’aller chercher, au fond de moi, ma vérité sur mes erreurs comme sur mes réussites. Je veux vous dire, sans façon, sans artifice, ce que j’ai vraiment fait, et ce en quoi je crois pour l’avenir. »
"J'ai écrit un livre... Si si, c'est possible... Je raconte n'importe quoi... Normal je suis dieu... De toute façon, personne ne sait lire dans mon parti..." |
La seule. Elle est inspirée d'une réflexion pertinente, comme toujours, de Camille :
"Les crayons de couleurs sont fournis avec ?"
J'ai une vague idée de ce que peut être la forme de ce livre de, apparemment, 250 pages :
- 249 pages d'échecs cuisants et de promesses non tenues...
- 1 page sur les réussites : la dernière, la blanche à la fin du livre.
Et alors, le petit mot : "d'aller chercher au fond de moi...", je n'ose imaginer où ce triste individu est allé chercher ses vérités (Ndlr : Carla ne lave plus ses petites culottes ?!?!)
Bref, un coup de pub grotesque car nous savons tous qu'il s'est planté, qu'il se plante et qu'il se plantera encore.
C'est marrant, j'ai écrit la même phrase sur le passage de Manuel Franco Valls face à Jean d'Ormesson dans "On n'est pas couché"...
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