Monsieur Sarkozy de Nagy-Bocsa,
Franchement, N'est-ce pas scandaleux d'interrompre les vacances de vos chers ministres, après seulement 10 jours de chutes boursières quotidienne.
Vous vous retrouver à l'Elysée pour inventer de nouvelles solutions à vos problèmes (dans un palais en travaux, la coïncidence est cocasse quand même).
Un peu plus de 2 h 00 après et un retour sur votre lieu de villégiature
(Au fait, Monsieur Fillon, on avait dit : les vacances c'est en France, pas en Italie),
donc après 2 h 00 de masturbation politicienne :
-5 % à la Bourse de Paris...
Questions :
"Vous aviez oublié votre maillot de bain ?"
"Depuis quand les agences de dégradation,
pardon, de notation
fondent-elles leurs analyses et leurs décisions
sur de vulgaires rumeurs de tabloïds anglais,
toujours à l'affût de la première "Mer..." qui passe ?"
"En 2009,
que sont devenues vos promesses et engagements ?
Fini la spéculation
Fini les ventes à découvert
Fini les placements hasardeux
Fini les paradis fiscaux ?"
"Est-ce que la réaction brutale de la bourse
Fini la spéculation
Fini les ventes à découvert
Fini les placements hasardeux
Fini les paradis fiscaux ?"
"Est-ce que la réaction brutale de la bourse
à la suite de votre génialissime réunion,
réunion qui devait une fois de plus
tous nous sauver d'un système devenu fou,
ne serait finalement que la preuve ultime
que même vos très chers amis investisseurs
n'ont plus aucune confiance en vous ?"
"Comment voulez-vous rassurer
les agences de faillites, pardon, de notation,
que vous réduisez les dépenses publiques
en déplacement autant de "beau monde"
pour une réunion de 2 h 00 qui accouche
(la réunion... pas vous savez qui...)
de... rien... ?"
"De combien cette réunion à augmenter
encore un peu plus votre déficit ?"
"Madame Carla Bruni-Sarkozy avait
une envie soudaine de fraise de chez Fauchon
pour vous obliger à remonter sur Paris ?"
"Ou était-ce Hédiard ???"
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