Monsieur Sarkozy de Nagy-Bocsa,
Monsieur François Fillon,
Je viens de lire avec stupeur que lors de la présentation de votre nouveau programme d'austérité, oups, pardon, selon vos termes, d'économies (bon, là, il faudrait arrêter de nous prendre pour des cons, c'est nous qui allons payer les conneries des banques), donc, je disais, que vous envisagiez de nous demander une nouvelle journée de solidarité - une journée de travail gratuite, retour d'une nouvelle forme d'esclavage d'état... pour sauver l'état - afin de régler le problème de la dette de la France (En 5 ans, + 471 Milliards, juste à cause ou grâce à vous, vous avez le choix).
Questions :
"Il faudrait que nous soyons solidaires des banques
(car, ce n'est pas autre chose que cela)
alors que les banques ne sont solidaires de rien ?"
"Quand allez-vous mettre un terme
à la spéculation,
aux paradis fiscaux,
aux mafias de tout genre,
à la corruption...
à votre irresponsabilité ?"
"Et vous, c'est pour quand,
votre solidarité ?"
"Euh, toujours rien
sur les grandes entreprises du CAC qui ne paient pas d'impôts ?
sur les grandes fortunes qui s'évadent en Suisse ?
sur les salaires des ministres, députés, sénateurs ?
sur l'irresponsabilité des banques ?"
"Toujours rien pour l'emploi ?"
Vous savez, ce truc qui occupe
les français 8 h par jour, 5 jours par semaine,
qui leur permet de vivre,
qui rapportent des impôts,
qui coûte moins cher en chômage
et qui peut même rendre les gens heureux...
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