Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa,
Depuis ce matin, dans toute la presse, il est question d'une de vos interviews dans laquelle vous dites ceci :
"Si vous perdez,
vous mettrez un terme à votre carrière politique."
"Si vous perdez,
nous n'entendrons plus parler de vous."
"Vous avez envie de gagner de l'argent."
"Vous aimeriez commencer votre semaine
le mardi et la terminer le jeudi."
Questions :
"Encore une promesse en l'air ?"
"Pourquoi ne démissionnez-vous pas,
tout simplement,
tout de suite, maintenant ?"
"Ca y est, vous avez fait la différence
entre gagner de l'argent et le voler ?"
"Pourquoi n'entendrons plus parler de vous
alors que les juges devront un jour ou l'autre
vous entendre sur les affaires
Karachi et la campagne présidentielle de 1995
et sur la campagne de 2002 et son financement étrange ?"
"Pourquoi n'avez-vous pas simplement expliqué
que vous vouliez supprimer les 35 h 00
pour les remplacer par la semaine
de 24 h 00 ?"
"Dans quel paradis fiscal allez-vous vous exiler ?"
"Vous n'oublierez pas de déclarer
vos valises à la douane,
pardon, vos enveloppes ?"
"Avez-vous enfin compris que
"vos amis" de l'U.M.P. vous détestent
autant que vous ?"
"Donc maintenant que vous avez tout cassé,
vous partiriez la queue entre les jambes ?"
"Tout ça pour ça ?"
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