Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa,
Cela fait maintenant plus de 15 jours que nous subissons la boucherie publique de l'U.M.P.
Selon les dires de vos proches, vous seriez particulièrement énervé par cette situation et nous apprenions en fin de semaine dernière que vous aviez menacé les deux protagonistes de cette farce politique de les discréditer publiquement s'ils ne trouvaient pas un accord avant hier soir (le 04.12.12).
J'avoue que j'ai regardé avec attention et une certaine fébrilité les journaux télévisés d'hier soir et de ce matin et... RIEN.
Pas un mot de vous, pas un communiqué. Le silence total. La menace n'est pas mise à exécution.
Questions :
"Encore une promesse dans le vide ?"
"Comment voulez-vous solutionner un problème
quand vous êtes vous-même au coeur,
voire, la source du problème ?"
"Vous mentez même à vos militants ?"
"Donc, pour vous, la politique,
c'est ultimatum, menaces, chantages
et déballages ???"
"Pendant que j'y pense,
en tant que membre d'office du Conseil Constitutionnel,
n'avez-vous pas l'OBLIGATION du droit de réserve ?"
"Avez-vous oublié le sens du mot
"SAGE" qui est attribué d'office aux membres
du Conseil Constitutionnel ?"
"Avez-vous seulement pris connaissance
des droits des membres
du Conseil Constitutionnel
et volontairement oublier
les devoirs de ces mêmes membres ???"
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