Monsieur Manuel Valls,
Voici quelques jours que vous avez pris les rênes du pouvoir et votre première annonce résonne en moi comme un violent coup de fouet punisseur...
En effet, suite aux dépenses somptuaires du gouvernement Sarkozy (600 Milliards de dettes supplémentaires dû principalement à un don sans contrepartie aux magnas et vautours de la finance) et afin de répondre aux exigences fascistes des technocrates non élus de Bruxelles, vous imposez une cure d'austérité de 50 milliards aux français et en particulier aux fonctionnaires.
Vous avez décidé entre autre de geler leur point d'indice des fonctionnaires et de raboter les prestations familiales.
Et vous confirmez que ce n'est pas une cure d'austérité... Vous êtes rigolo quand même...
Questions :
"Bon, vous n'avez décidemment
rien compris ???"
"Notre vote lors des dernières municipales
était un vote d'adhésion à la droite,
c'est cela que vous avez compris ???"
"Donc, vous avez décidé que vous gagnerez
rien compris ???"
"Notre vote lors des dernières municipales
était un vote d'adhésion à la droite,
c'est cela que vous avez compris ???"
"Donc, vous avez décidé que vous gagnerez
les élections européennes qui arrivent
sans le vote des fonctionnaires ?"
"Donc, vous avez décidé de simplement
ignorer la baffe monumentale que
nous vous avons infligés
il y a quelques semaines ?"
"Même pas mal, c'est ça ?"
"Vous êtes un peu maso quand même, non ?"
"Et toujours rien pour imposer
aux banques de contribuer à l'effort national ?"
"Toujours rien sur actionnaires,
rapaces sans scrupule de la grande finance mondiale ?"
"Avez-vous été seulement un jour de gauche ?"
"C'est LA punition que vous infligez à votre électorat
pour ne pas avoir bêtement plébiscité
le PS lors des dernières municipales ?"
"Donc, votre gouvernement de combat
livrera finalement une guerre sans merci
contre son propre électorat ?"
"Donc, c'est ça la bande des 5
qui va précipiter définitivement
les français dans la grande pauvreté ?"
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