Monsieur Jean-Michel Apathie,
La semaine dernière, dans la dernière du "Grand Journal" de la saison 2015, étaient invités l'un des plus généreux donateurs en matière de santé publique en général et de sida en particulier, Monsieur Bill Gates.
Monsieur Bill Gates expliquait que la France était un exemple en matière de fonds alloués à la recherche contre cette maladie et qu'elle devait continuer ses efforts dans cette voies...
Comme votre habitude, vous vous êtes permis cette réflexion pour le moins odieuse :
"Vous avez une contradiction, en revanche
si je peux me permettre,
(Ndlr : "Vous n'auriez jamais du vous permettre ce propos"...)
votre marque de fabrique c'est de gérer l'action humanitaire
comme un business, il faut être efficace,
vous dépensez l'argent que vous avez gagné
et vous félicitez le Président de la République française
qui dépense l'argent qu'il n'a pas
parce que les caisses sont vides... "
Questions :
"Je ne vous le souhaite évidemment pas
mais si par le plus grand des malheurs
vous tombiez gravement malade,
vous financerez donc vous-même vos frais
médicaux afin de ne pas augmenter un peu plus
le trou du déficit français
et ceci dans un soucis de philanthropie totale ???"
"La santé est donc une question comptable,
uniquement ?"
"Donc, il faut mieux laisser les gens crever
en engraisser les banques
que de les soigner ???"
Monsieur Apathie, je connaissais déjà votre démagogie et vos raccourcis honteux mais dire que Bill Gates pousse l'état français à privilégier la santé au profit de la finance nationale et mondiale...
Monsieur, la santé n'a aucun prix, la notre, la mienne, la votre... Votre saillie contre les efforts des français et de la France pour lutter contre le sida est simplement odieuse, hors de propos et contraire à toute forme d'éthique.
Savoir que vous quittez le "Grand Journal" me réjouit et savoir aujourd'hui que vous allez sur BFM Tv me convainc de croire que c'est votre unique place où la démagogie et le populisme sont les règles... Vous serez dans votre élément... Et surtout, vous ne me manquerez pas...
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