Monsieur Jean-François Copé,
Vous n'êtes plus à une provocation prêt, vous avez décidé que si vous étiez élu à la tête de l'U.M.P. à la place de votre Dieu, Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa (qui, semble-t-il, n'a pas suivi votre débat avec François Fillon... Oups...) vous descendriez dans la rue le 18 novembre prochain pour manifester contre la politique du Gouvernement Ayrault.
Vous avez dit :
«Il pourra se trouver,
si je suis élu à la tête de l'UMP le 18 novembre prochain,
que je propose,
comme nous l'avions fait en 1984 pour sauver l'école libre,
que les Françaises et les Français
qui s'indignent et qui s'inquiètent
pour l'avenir de notre pays
et des enfants de France
se mobilisent dans la rue pour
dire qu'il y a des choses
que nous n'acceptons pas»
Questions :
"Ce sera quoi votre parcours ?
Avenue Montaigne - Champs Elysées - Avenue de Matignon ?"
"Y aura-t-il des casseurs ?"
"Que jetteront-ils ?
Des lingots, des Rollex,
ou des valises pleines de billets ?"
"Madame Bettencourt est invitée ?"
"Avez-vous pensé à prévoir
une petite collation à base
de pains au chocolat blanc ?"
"Quelle sera la moyenne d'âge
de vos manifestants ?"
"Direz-vous,
comme lors des très nombreuses manifestations
qui ont eut lieu lors du précédent quinquennat,
"Lorsqu'il y a une grève,
personne ne s'en rend compte "?"
"Ce sera la journée portes ouvertes
dans les maisons de retraite ?"
"Finalement, quel risque prenez-vous
puisque tout le monde sait que c'est
François Fillon qui va gagner ?"
"Vous ne savez plus quoi inventer
pour vous rendre intéressant ?"
"Combien de figurants allez-vous
embaucher pour cette occasion ?"
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