Madame Arlette Carlotti, Madame Samia Ghali,
Ce matin, nous avons droit à un écharpage en règle de chignons surdimensionnés de deux candidates socialistes aux primaires de Marseille :
Madame Carlotti :
"Personne n'avait vu jusqu'à présent
ce système fonctionner avec une telle
puissance,
un tel sentiment d'impunité,
à la vue de tous,
avec des dizaines de
minibus
qui sillonnent la ville,
des échanges d'argent,
toute une organisation
que
j'ai envie de qualifier de paramilitaire".
"Oui, il a
fallu s'organiser pour aller voter,
car les transports dans certains
quartiers
sont inaccessibles"
Madame Ghali :
"Si j'étais à sa place,
peut-être que je rendrais mon poste de ministre."
Questions :
"Euh, c'est fini la cour de récréation, là ?"
"Bon, les deux pimbêches,
(Ndlr : C'est volontairement sexiste, pour ceux qui auraient un doute,
mais avec une portée purement ironique...)
c'est pas bientôt fini vos conneries ?"
"Bon, les deux pimbêches,
(Ndlr : C'est volontairement sexiste, pour ceux qui auraient un doute,
mais avec une portée purement ironique...)
c'est pas bientôt fini vos conneries ?"
"Madame Carlotti,
où sont les preuves de ce que vous avancez ?"
"Madame Ghali,
pourquoi ne démissionnez-vous pas de votre
poste de Sénateur ?"
"Et vous vous étonnez que le FN monte ?"
"Pour l'une ministre, pour l'autre sénatrice,
et la fin du cumul des mandat,
c'est pour quand ?"
"Vous savez que vous êtes pathétiques, là ???"
"Sommes-nous sûrs que les dangereux
gangsters de la banlieue nord
sont bien ceux présenter à longueur
de JT sur TF1 ???"
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