Madame Christine Boutin,
Et hop, encore une énormité... :
"Je ne sais pas si je suis ruinée, mais nous sommes dans une situation financière très difficile".
Les affiches, les bulletins de vote, et les professions de foi lui ont coûté
"150 000 euros".
Une somme "énorme", juge-t-elle.
(Ndlr : Je ne fais aucun commentaire sur le physique avec le mot "énorme")
'"Je vais me débrouiller comme je peux.
J'ai vendu ma permanence.
Ça a déjà servi à payer la moitié de mes dettes pour la présidentielle.
Et puis l'autre moitié passera là."
La catholique, fervente opposante au mariage et à l'adoption pour tous, lance donc un appel à ses "140 000" électeurs. Et elle donne son adresse postale.
"Si nous arrivons à les retrouver,
figurez-vous qu'on redevient le premier parti de France"
Questions :
"Avec 140 000 électeurs,
vous seriez le premier parti de France ???
Je vous demande pardon ???"
"Pour redevenir le premier parti de France,
encore eut-il fallut que vous le fussiez
au moins une fois...
Un excès de teinture pour dire une connerie pareille ???"
"Pas étonnant que vous soyez à sec aujourd'hui
si vous comptez comme ça ???"
"Si 150 000 € vous paraît énorme,
prenez-vous enfin conscience de la
valeur de l'argent ?"
"Dettes pour la présidentielle ???
Mais Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa
vous a offert 800 000 €
(Ndlr : surement payés par une partie de mes impôts, d'ailleurs)
pour vous "écarter" (hum hum)
de cette campagne présidentielle ?"
"Qu'en avez-vous fait,
de ces 800 000 € ?"
"Vous tentez de faire comme le Christ,
lui a multiplié les pains,
vous, ce sont les électeurs ???"
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