Madame Marion Anne Perrine Le Pen,
Votre père a encore fait des siennes, vous qui mettez toute votre pitoyable énergie à rendre acceptable un parti qui ne l'est pas, qui ne l'a jamais été et qui ne le sera jamais.
Avec sa diarrhée verbale habituel, votre père, président d'honneur de votre parti a dit ceci lors d'une conférence de presse à Nice :
«Je vais vous faire un pronostic :
vous avez quelques soucis, paraît-il,
avec quelques centaines de Roms
qui ont dans la ville une présence
urticante et disons... odorante. (...)
Ceci n’est que le petit morceau de l’iceberg»
Questions :
"Et vous, au Front Nazie,
à quoi pouvons-nous vous comparer ?"
"A des morpions qui s'accrochent
et dont il est difficile de se séparer ?"
"Dédiabolisation : encore ratée ???"
"Vous n'attendez qu'une chose en ce moment, non ?"
"La mort du père ?"
Ndlr : Rassurez-vous, nous aussi mais pas pour les mêmes raisons...
"Ah, il vous aura pourri bien la vie, non ???"
"Euh, j'imagine que vous êtes encore
une fois la victime d'un complot ?"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire