Pourquoi je poste ENCORE et TOUJOURS des questions ? L'exemple vient d'en haut paraît-il. Quand je ne sais pas, je demande. Ce blog est là pour référencer les questions que je pose sur ma ville, Paris, mon Pays, la France, l'Europe dont fait partie mon pays, le Monde, notre seul à tous. Les questions pourront être gentilles, amicales, acides ou caustiques, c'est juste pour comprendre. Et bien évidemment, ces questions appellent des réponses, les vôtres Alors n'hésitez pas une seule seconde.

25 mars 2015

Liberté d'expression un jour... Privation de cette liberté le lendemain...

Au lendemain, ou plutôt au sur-sur-lendemain des élections départementales et un peu plus de deux mois après l'immense manifestation du 11 janvier 2015 pour la liberté d'expression, cette question m'est venue à l'esprit :

Question :
"Comment se fait-il qu'après la mobilisation sans précédent
en faveur de la liberté d'expression
et contre la barbarie idéologique,
plus d'un quart des français ait pu voter
pour le parti qui anéantira cette même liberté d'expression
et fera de la barbarie idéologique
notre quotidien ?"

Cette question est posée juste pour essayer de comprendre la France et les Français qui, un jour se soulèvent pour dire leur envie de liberté et le lendemain sont en passe de porter au pouvoir un parti fasciste qui leur retirera, la liberté...

France pays de contrastes. Oui, peut-être. Pays de l'incohérence, sûrement. En tout cas, je ne sais plus trop quoi penser de mon pays qui part dans tous les sens...

Il faudra qu'un jour on m'explique comment nous pouvons passer d'un extrême à l'autre sans qu'à un seul moment cela fasse au mieux tilt dans notre boîte crânienne, au pire game over...

Ceci dit, cela confirme une chose que j'avais vu lors du défilé du 11 janvier :
  • Il y a ceux qui manifestaient parce qu'ils savaient de quoi ils parlaient ;
  • Il y avait les autres qui n'avaient jamais ouvert un Charlie Hebdo de leur vie et qui, comme tout le monde, comme des bons petits moutons fiers d'eux, l'ont eut entre leurs mains et sont tombés de leurs chaises...

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